détour.studio

par Thomas Parisot (il / lui)

Weeknotes #216-217

Weeknotes écrites à Crest, publiées le 27/02/2024. S'abonner via RSS.

Table des matières

Deux semaines pleines mais sans trop… et que le temps passe vite. J’ai du mal à (re)trouver une stabilité d’écriture dans les notes.

Ce qui s’est passé

CartoBio
Développement de l’import de données MesParcelles. Ça a été facilité par du code prototypé il y a deux ans. Merci Git.
Développement du l’import de données Geofolia. C’était plaisant de terminer ce morceau laissé en suspens pendant plusieurs mois.
J’ai profité d’être “dans le coin” pour développer aussi le connecteur Geofolia. Celui-ci va récupérer les données directement sur leur plate-forme, avec le consentement de leurs clients. Ça concerne la majorité de leurs clients. Et ça réutilise le code du point précédent.
On a reçu les données Ecocert du premier trimestre. Ça fait plein de parcellaires en plus.
Plein de petits ajustements dans les exports Excel et sur quelques règles métier d’enregistrement de formulaires.
On s’est dit qu’on allait passer à des tests d’intégration qui utilisent une vraie base de données. On aurait pu éviter des bugs critiques de ces dernières semaines grâce à eux.
Session de présentation des retours utilisateurs. Beaucoup de positif. Et on avait déjà anticipé bon nombre d’éléments des améliorations demandées. Chouette équipe comme toujours.
Solstice
Café-rencontre avec Céline, la nouvelle accompagnante permanente. Ça coïncidait avec le premier jour de Paul. Des mois de travail qui se matérialisent.
J’ai tiré au clair cette histoire d’intéressement. Et obtenu la confirmation qu’on devait changer notre manière de procéder.

Approche de Vaunaveys-la-Rochette (février 2024).

Des joies

  • J’accueille plein de gens en ce moment. Elles repartent avec le sourire. Ça me ravit.
  • J’en suis d’autant plus ravi que mon avis vis-à-vis de certain·es avait été teinté par d’autres personnes… injustement.
  • J’ai ralenti mon implication à l’Usine Vivante et à Solstice… et je le vis bien. Ça fait du bien de pouvoir ralentir, de recharger les batteries, de prendre de la hauteur/recul.
  • Des remerciements/mises en visibilité de certaines de mes actions. C’est gratifiant et me donne le signal que je peux continuer/ça ne sert pas à rien.
  • Déjeuner sympathique où on a discuté co-développement. Content d’avoir appris que c’était soutenant, et que l’organisation de cet atelier le soit dans un futur proche.
  • Séquence ponçage à la maison : j’arrive à un moment où j’ai envie d’aller au-delà de l’état dans lequel je l’ai trouvée en m’installant y’a un an. C’est le temps qu’il m’aura fallu pour l’observer et mâturer les prochains petits pas.
  • J’en ai profité pour remettre d’applomb la borne d’arcade qui dormait depuis plusieurs années. Même si ça a nécessité de percer une serrure, faute d’avoir retrouvé les clés du compartiment électronique.
  • Le travail du bois tisse des liens autres avec le voisinage — je n’ai pas l’intention d’acheter du matériel de bricolage, donc j’ai celle de me baser sur de l’emprunt.

Des peines

  • J’ai grave foiré en dissimulant une action qui a mis en péril la sécurité dans un lien affectif.

Vu, lu, regardé, joué

  • 📚 Commencé “S’adapter” de Clara Dupont-Monod. L’écriture est superbe. Le point de vue aussi — celui des cailloux. Celui d’enfants. Ça me touche beaucoup.
  • 📺 Terminé la série Years and Years. Le travail d’anticipation est prenant.
  • 📺 Revu Her. J’ai beaucoup aimé l’aspect conversationnel vocal, et comment notre esprit n’est pas assez grand pour imaginer une création qui dépasse notre entendement.
  • 🎶 Écouté nostalgiquement “L’amour et la violence” de Sébastien Tellier.