Weeknotes #225
Weeknotes écrites à Die, publiées le 22/04/2024. S'abonner via RSS.
Une semaine hors-les-murs, en soutien à M à Lyon et à participer à notre dernier séminaire d’équipe CartoBio à Paris.
Ce qui s’est passé
- détour.studio
- Deuxième session de réponse à l’appel d’offre de reprise de CartoBio. On a égrainé plein d’idées qu’on développera dans les prochains jours.
- J’en profite pour tester la configuration de mon ordinateur pour évaluer si je peux déposer la réponse au marché public.
- CartoBio
- Par ricochets, un chef de produit chez l’éditeur Smag a entendu parler de CartoBio. Un chemin s’ouvre pour interconnecter nos parcellaires.
- Lors de notre regroupement, en planifiant ce qu’on dévelopera d’ici juin, et ce qu’on laissera à l’équipe de reprise, on réalise qu’il nous reste… 3 itérations. C’est à la fois peu, et beaucoup au regard de toutes les itérations réalisées depuis le début du projet (on en a compté 94).
- On a nommé des envies d’écriture et de documentation du projet, tant sur la méthodologie qu’en retour d’expérience auprès d’autres équipes agile de la DINUM et de ses incubateurs. Pas grand monde pariait sur nous il y a 2 ou 3 ans.
- Maud m’a aidé dans la résolution du bug d’écriture de données via API. C’était précieux parce que j’avais le cerveau en bouillie. On a même découvert encore un autre bug au passage !
- J’en ai profité pour apprendre à embarquer un tableau de bord Metabase sur une page web, et à construire une requête PostgreSQL avec un cumul mois par mois. Ça remplacera notre page
/stats
. - Solstice
- Une discussion sur l’état du système d’information. Malheureusement, la situation actuelle entraine des pertes de données et de productivité. On n’est pas aidé avec un prestataire d’infogérance pas très réactif.
- Une autre discussion avec le conseil d’administration pour prendre connaissance des pistes d’organisation pour alléger la charge de l’équipe administrative. C’est vraiment pas évident. J’apprécie que Paul se retrousse les manches et s’implique dans les bureaux où il y a besoin d’aide. Faire équipe.
Des joies
- J’étais ravi comme tout de circuler à Lyon en vélo. Ça a beaucoup apporté de légéreté à la semaine.
- Heureux d’être en soutien à M pour sa semaine de clôture comptable, tout en ayant d’excellentes conditions de travail.
- Beaucoup de fiertés déposées pendant la rétrospective CartoBio. On trouve encore des moyens d’améliorer notre organisation d’équipe.
- J’aime beaucoup PostgreSQL, et j’aime apprendre au fil de l’émergence de besoins nouveaux.
- Je commence à avoir de la matière et un plan quasiment ficelé pour ma présentation à MiXiT de la semaine prochaine.
- J’aime décidément beaucoup les couleurs du printemps, les verts vifs et les explosions florales dans tous les sens.
Des peines
- Je me réveille encore beaucoup la nuit, avec appel d’offre, conférence et organisation du ponçage de parquet en tête.
Vu, lu, regardé, joué
- 🔗 Lu Calme. J’aime beaucoup le concept de calm companies. Ça me parle tellement plus que les broyeuses qui vont (surtout) vite.
- 📚 Terminé “Un psaume pour les recyclés sauvages” de Becky Chambers. Beaucoup de philosophie de vie intéressante, et des dernières pages très émouvantes. J’adore son écriture bien que la traduction soit des fois pas évidente à lire (à voix haute).
- 🎧 Écouté La Roquette, Saint-Lazare, Fleury-Mérogis… quartiers de femmes pénitentes dans les nuits de France Culture.
- 🎧 Écouté Changer la loi sur le viol dans les couilles sur la table. Cette série est incroyable. J’étais content d’apprendre des choses à propos du procès d’Aix et de la convention d’Istanbul… et qu’il y a plein de matière à y puiser pour rattraper le retard dans ce qui définit/caractétise un viol au regard de la loi.
- 🎧 Écouté le quatrième épisode de 20 000 lieues sous ma chair dans le cœur sur la table. Un écho juridique au précédent podcast. Des super exemples de phrases à dire à des proches pour les soutenir.
- 🎧 Écouté I Think I Married the Wrong Person dans Where should we begin?. Une piqûre de rappel sur l’écoute, prendre le temps d’être en soutien, de prodiguer de l’affection avant même de s’écouter/écouter notre logique intérieure.